La crise de 1715, marquée par l'abandon temporaire de
l'exploitation minière de Giromagny rend caducs les anciens règlements
forestaux.
On cultive de plus en plus en montagne
d'autant que les terres arables de la vallée diminuent avec l'augmentation
sans cesse croissante du cheptel.
Tout ce qui peut être arrosé est
transformé systématiquement en prairies pour le fourrage d'hiver.